Les entreprises canadiennes sont plus actives sur les marchés d’outre-mer

Les entreprises canadiennes sont plus actives sur les marchés d’outre-mer

Une nouvelle étude dirigé par Exportation et développement Canada (EDC) a été publié dans un rapport de l’Institut de recherche en politiques publiques (IRPP)

Dans le rapport les chercheurs Daniel Koldyk, Lewis Quinn et Todd Evans on trouvé que les entreprises canadiennes sont plus actives sur les marchés d’outre-mer et moins dépendantes des États-Unis qu’on ne le croit généralement.

« Ceux qui avancent qu’une modeste part seulement de nos échanges internationaux se déroule hors des États-Unis,” explique Daniel Koldyk, EDC. “Se fondent le plus souvent sur les seules données d’exportation tirées des statistiques douanières, qui ne rendent pas compte de la pleine participation du pays aux chaînes de valeur mondiale. Lorsqu’on prend en compte les dernières données sur les exportations canadiennes à valeur ajoutée, l’investissement extérieur et les ventes de nos sociétés étrangères affiliées, notent-ils, il apparaît clairement que nos entreprises se diversifient au-delà du marché américain. »

Pour les entreprises canadiennes qui ont adopté le modèle du commerce d’intégration, la bonne nouvelle est que les activités à l’étranger peuvent entraîner la multiplication des sources de revenus, stimuler les exportations et contribuer à l’économie canadienne.

« Plus de travail à l’étranger ne veut pas dire moins de travail au Canada », affirme M. Koldyk. « Exercer des activités d’envergure à l’étranger nécessite des activités d’envergure au Canada. Il faut plus de comptables, plus de recherche et plus d’administration. Une entreprise qui croît sur un marché étranger croît également au Canada. Cette approche augmente la valeur de l’entreprise sur le marché puisqu’elle lui permet de réaliser des économies d’échelle et de rester concurrentielle. »

Catégories Aperçus économiques

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